Lorsque l’on pense aux sports pratiqués sur Wafufu, l’on imagine de suite le rugby. C’est vrai que ce sport à une place importante dans les îles du pacifique sud et donc à Wafufu. Cependant ici il n’y a pas de tournoi de rugby, pas plus que de fédération de rugby wallisienne. Le rugby est donc pratiqué seulement lors d’entrainements et quelques matchs amicaux sont quelquefois organisés. Je ne manquerai certainement pas d’assister prochainement à un match amical.
Les deux autres sports locaux, terrestres, sont le cricket et le volley. Quelques wallisiens appartiennent à des équipes de volley professionnelles. J’ai rencontré un joueur actuellement en vacances sur wafufu (2m05 et 124kg.) Je n’ai pas de photos à l’appui…
L’autre sport pratiqué et certainement le plus populaire est le cricket wallisien.
Certainement exporté par les américains lors de la seconde guerre mondiale, le jeu à été revu à la sauce wallisienne. Les règles sont assez complexes. Mais après avoir interrogé un collègue de travail, l’on pourrait présenter grosso-merdo les règles du jeu, de la manière suivante.
Tout d’abord un match dure toute la journée. Objectif, marquer le plus de points.
Sur le terrain environ 50 joueurs, voir plus.Chaque équipe envoie chacun de ses joueurs batter ou taper une espèce de boule en bois. En face, un lanceur de l’équipe adverse. Derrière le batteur, se trouve un réceptionneur. Ces trois joueurs se trouvent dans une zone que l’on peut appeler « zone critique ». Le lanceur a le choix. Soit il lance la balle avec un rebond devant le batteur, soit pas. Le batteur dispose également de plusieurs techniques. Il peut soit taper le plus loin possible la balle. Suite à quoi, il parcourt le maximum d’allers-retours entre les deux piquets qui sont entre lui et le lanceur, avant que la balle ne soit ramenée sur la zone critique par un joueur adverse. Un aller-retour vaut 2 points. Le lanceur peut également juste faire opposition avec sa batte et marquer un point. En effet, il est rare d’arriver à frapper la balle très loin. Et l’interception d’une balle qui n’a pas touché le sol éjecte le batteur. Autre moyen de marquer des points pour l’équipe qui batte, profiter de l’erreur du lanceur. Si ce dernier lance sa balle trop fort et que le réceptionneur derrière le batteur la laisse filer. Le batteur doit en profiter pour parcourir les allers-retours entre les piquets.
Une fois que l’équipe a envoyé tous ses batteurs, on comptabilise ses points et l’autre équipe doit tout simplement marquer le plus de points.
Il n’y a que des matchs entre districts ou entre village d’un même district. Pas de compétition officielle. C’est du sport au sens loisir et divertissement. Par exemple, lorsqu’une équipe est en train de distancer au score l’autre équipe, une petite danse est improvisée pour chambre l’autre équipe. L’objectif du jeu est vraiment de prendre du plaisir et de faire rire les spectateurs et les joueurs entre eux.
Les deux autres sports locaux, terrestres, sont le cricket et le volley. Quelques wallisiens appartiennent à des équipes de volley professionnelles. J’ai rencontré un joueur actuellement en vacances sur wafufu (2m05 et 124kg.) Je n’ai pas de photos à l’appui…
L’autre sport pratiqué et certainement le plus populaire est le cricket wallisien.
Certainement exporté par les américains lors de la seconde guerre mondiale, le jeu à été revu à la sauce wallisienne. Les règles sont assez complexes. Mais après avoir interrogé un collègue de travail, l’on pourrait présenter grosso-merdo les règles du jeu, de la manière suivante.
Tout d’abord un match dure toute la journée. Objectif, marquer le plus de points.
Sur le terrain environ 50 joueurs, voir plus.Chaque équipe envoie chacun de ses joueurs batter ou taper une espèce de boule en bois. En face, un lanceur de l’équipe adverse. Derrière le batteur, se trouve un réceptionneur. Ces trois joueurs se trouvent dans une zone que l’on peut appeler « zone critique ». Le lanceur a le choix. Soit il lance la balle avec un rebond devant le batteur, soit pas. Le batteur dispose également de plusieurs techniques. Il peut soit taper le plus loin possible la balle. Suite à quoi, il parcourt le maximum d’allers-retours entre les deux piquets qui sont entre lui et le lanceur, avant que la balle ne soit ramenée sur la zone critique par un joueur adverse. Un aller-retour vaut 2 points. Le lanceur peut également juste faire opposition avec sa batte et marquer un point. En effet, il est rare d’arriver à frapper la balle très loin. Et l’interception d’une balle qui n’a pas touché le sol éjecte le batteur. Autre moyen de marquer des points pour l’équipe qui batte, profiter de l’erreur du lanceur. Si ce dernier lance sa balle trop fort et que le réceptionneur derrière le batteur la laisse filer. Le batteur doit en profiter pour parcourir les allers-retours entre les piquets.
Une fois que l’équipe a envoyé tous ses batteurs, on comptabilise ses points et l’autre équipe doit tout simplement marquer le plus de points.
Il n’y a que des matchs entre districts ou entre village d’un même district. Pas de compétition officielle. C’est du sport au sens loisir et divertissement. Par exemple, lorsqu’une équipe est en train de distancer au score l’autre équipe, une petite danse est improvisée pour chambre l’autre équipe. L’objectif du jeu est vraiment de prendre du plaisir et de faire rire les spectateurs et les joueurs entre eux.